Mettre vos yeux à l’épreuve
D.R.
L’œil est en quelque sorte une caméra réflexe perfectionnée à un point
difficilement imaginable. L’ensemble transparent composé de la cornée et du
cristallin joue le rôle de l’objectif. L’iris coloré agit comme diaphragme. Il
règle automatiquement la quantité de lumière admise dans l’œil. Les rayons
lumineux traversent la cornée, et le cristallin projette une image renversée sur
la membrane nerveuse qu’est la rétine. Le nerf optique transmet les informations
de la rétine au cerveau. C’est lui qui décode ces sensations et les traduit en
une perception redressée et colorée.
Mais il arrive fréquemment d’avoir des
défauts
Les yeux de nos ancêtres servaient surtout à voir de loin et, à
l’occasion, à voir de près. La civilisation a inversé cet ordre. Aujourd’hui,
notre système visuel est beaucoup plus sollicité qu’au début du XIXe siècle et
encore plus qu’aux temps préhistoriques.
Les charges visuelles sont plus
importantes et, grâce à l’électricité, nos yeux travaillent plus longtemps.
Notre mode de vie a changé et la fatigue ressentie par l’organisme est
proportionnelle à l’effort exigé.
Les défauts de la vue les plus courants,
qu’il ne faut pas confondre avec des maladies, s’appellent des amétropies :
c’est-à-dire des défauts de mise au point (myopie ou hypermétropie), de courbure
(astigmatisme) et des conséquences du vieillissement : la presbytie.
D.R.
L’œil est en quelque sorte une caméra réflexe perfectionnée à un point
difficilement imaginable. L’ensemble transparent composé de la cornée et du
cristallin joue le rôle de l’objectif. L’iris coloré agit comme diaphragme. Il
règle automatiquement la quantité de lumière admise dans l’œil. Les rayons
lumineux traversent la cornée, et le cristallin projette une image renversée sur
la membrane nerveuse qu’est la rétine. Le nerf optique transmet les informations
de la rétine au cerveau. C’est lui qui décode ces sensations et les traduit en
une perception redressée et colorée.
Mais il arrive fréquemment d’avoir des
défauts
Les yeux de nos ancêtres servaient surtout à voir de loin et, à
l’occasion, à voir de près. La civilisation a inversé cet ordre. Aujourd’hui,
notre système visuel est beaucoup plus sollicité qu’au début du XIXe siècle et
encore plus qu’aux temps préhistoriques.
Les charges visuelles sont plus
importantes et, grâce à l’électricité, nos yeux travaillent plus longtemps.
Notre mode de vie a changé et la fatigue ressentie par l’organisme est
proportionnelle à l’effort exigé.
Les défauts de la vue les plus courants,
qu’il ne faut pas confondre avec des maladies, s’appellent des amétropies :
c’est-à-dire des défauts de mise au point (myopie ou hypermétropie), de courbure
(astigmatisme) et des conséquences du vieillissement : la presbytie.